Salut à tous,
Après les 27 heures de porte à porte qui séparaient Cartagena de Indias à Genève, c’est sans encombre, ni retard que nous sommes arrivés à bon port, les bagages étaient également à l’arrivée.
Jacky et Bluette (les parents de Thierry) nous attendaient à Cointrin avec l’impatience des grands-parents à revoir leur petit-fils. Dès la sortie de l’aéroport le froid nous fouette le visage, plus de 36° de différence, brrr, brrr, mais le bon vin chaud préparé par Jacky a vite fait de nous réchauffer et de nous remettre de bonne avec le Seigneur. Décalage horaire, différence de température et longueur du trajet n’auront même pas raison de la fatigue de Marvin qui à minuit réclame à manger ! On finit tout de même par s’endormir.
Le lendemain, se sont les heureuses retrouvailles avec grand-maman Jacquotte (ma maman), Martine (la sœur de Thierry), Claude (notre boof), Niel et Megane (nos neveu et nièce), Francis (le tonton). Tout le monde est content de se partager un petit vin blanc, qui coule vite à flot, les marrons sont grillés, sur la terrasse les discussions et rigolade vont bon train.
Après les 27 heures de porte à porte qui séparaient Cartagena de Indias à Genève, c’est sans encombre, ni retard que nous sommes arrivés à bon port, les bagages étaient également à l’arrivée.
Jacky et Bluette (les parents de Thierry) nous attendaient à Cointrin avec l’impatience des grands-parents à revoir leur petit-fils. Dès la sortie de l’aéroport le froid nous fouette le visage, plus de 36° de différence, brrr, brrr, mais le bon vin chaud préparé par Jacky a vite fait de nous réchauffer et de nous remettre de bonne avec le Seigneur. Décalage horaire, différence de température et longueur du trajet n’auront même pas raison de la fatigue de Marvin qui à minuit réclame à manger ! On finit tout de même par s’endormir.
Le lendemain, se sont les heureuses retrouvailles avec grand-maman Jacquotte (ma maman), Martine (la sœur de Thierry), Claude (notre boof), Niel et Megane (nos neveu et nièce), Francis (le tonton). Tout le monde est content de se partager un petit vin blanc, qui coule vite à flot, les marrons sont grillés, sur la terrasse les discussions et rigolade vont bon train.
Marvin en manque de poissons à découper se vengera sur un canard qui ne résistera pas à la dissection, son grand-papa lui montrant comment tirer non pas les filets, mais les magrets.
Au bord du lac nous retrouvons North Wales notre Achille Butler, prêté contre bons soins durant notre absence. A peine à bord notre moussaillon le trouve trop petit et dit à son papa : mais ça tangue, dans celui-là, il n’y a pas de place pour mes jouets !
La Vaudoise est toujours fidèle au poste, quant au seul bateau solaire resté à l’eau, il est en piteux état - couvert de fiente, les mouettes l’ayant pris d’assaut - ses acolytes retrouveront l’eau au printemps pour des promenades touristiques le long des rives du Léman. Ouchy n’a pas changé, la CGN (Compagnie générale de navigation) assurant toujours ses services réguliers !
Après le lac, un départ pour la montagne; Les Diablerêts où nous nous émerveillons devant la beauté des paysages enneigés.
A peine sur place, équipé comme un « Bibandum », patinettes chaussées, petit bonhomme s’élance pour sa première descente sous l'oeil expert de son papa.
Trop fort ou trop froid, les patinettes casseront comme du verre. Nous continuerons la matinée à faire de la glissade, les assiettes sous les fesses feront la joie du petit et des grands….
Une bonne fondue pour nous réchauffer et nous partons louer une paire de skis, histoire de voir Marvin se débrouiller. Là, nous sommes « babas » il en demande et en redemande, doté d’un équilibre incroyable, il n’arrête pas de dévaler les petites pentes en hurlant, encore et encore oubliant complètement qu’il fait -9°.
A Lausanne les marchés de Noël battent leur plein, les décorations, les senteurs de cannelle, de vin chaud, marrons chaud embaument la ville. Il fait bon déambuler dans les rues en découvrant toutes ces merveilles en voyant les yeux des enfants briller de mille feux, en espérant secrètement rencontrer le vrai Père Noël pour lui remettre sa lettre.
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