Salut à tous,
Revenons pour quelques semaines en arrière. C’est parti, le 21 décembre pour New Life. Nous quittons Schroeder cet après-midi à marée haute, le chenal ne nous permettant pas de passer à un autre moment. Nous n’irons pas bien loin, seulement jusqu’à Jackson Creek à 5 miles d’où nous serons plus à l’aise pour quitter Deltaville au lever du jour le lendemain.
Nous amarrons New Life au ponton du Fisching bayYacht Club qui nous offre la nuit, ainsi que l’accès à leurs facilités, étant membres d’un autre yacht club. Dans la soirée le vent forcit, la météo annonce un avis de coup de vent valable jusqu’à lundi 13h00. A une autre période de l’année, aucun doute, nous restons à quai avec cette météo, mais Noël approche et nos amis de Shiver nous attendent à Norfolk. Ils ont aussi un petit matelot à bord. Nous pensons, tout comme eux, que d’attendre le Père Noël ensemble serait plus sympa pour les enfants.
Au lever du jour le vent s’en donne à cœur joie, il souffle en rafales à 40 nœuds. On n’hésite encore pour larguer les amarres. Nous laissons la VHF allumée afin de suivre l’évolution des prévisions, une légère amélioration est annoncée pour l’après-midi. Il nous faudrait une dizaine d’heures pour rallier Norfolk. Il est 10h00 du matin, en partant maintenant, on arriverait de nuit, c’est réalisable, faut-il encore vouloir se faire brasser. Le soleil est là, mais il fait un froid de canard. Les hublots intérieurs du bateaux sont gelés, à la poupe des glaçons pendent, les cordages sont cassant, il est impossible de les rouler.
Revenons pour quelques semaines en arrière. C’est parti, le 21 décembre pour New Life. Nous quittons Schroeder cet après-midi à marée haute, le chenal ne nous permettant pas de passer à un autre moment. Nous n’irons pas bien loin, seulement jusqu’à Jackson Creek à 5 miles d’où nous serons plus à l’aise pour quitter Deltaville au lever du jour le lendemain.
Nous amarrons New Life au ponton du Fisching bayYacht Club qui nous offre la nuit, ainsi que l’accès à leurs facilités, étant membres d’un autre yacht club. Dans la soirée le vent forcit, la météo annonce un avis de coup de vent valable jusqu’à lundi 13h00. A une autre période de l’année, aucun doute, nous restons à quai avec cette météo, mais Noël approche et nos amis de Shiver nous attendent à Norfolk. Ils ont aussi un petit matelot à bord. Nous pensons, tout comme eux, que d’attendre le Père Noël ensemble serait plus sympa pour les enfants.
Au lever du jour le vent s’en donne à cœur joie, il souffle en rafales à 40 nœuds. On n’hésite encore pour larguer les amarres. Nous laissons la VHF allumée afin de suivre l’évolution des prévisions, une légère amélioration est annoncée pour l’après-midi. Il nous faudrait une dizaine d’heures pour rallier Norfolk. Il est 10h00 du matin, en partant maintenant, on arriverait de nuit, c’est réalisable, faut-il encore vouloir se faire brasser. Le soleil est là, mais il fait un froid de canard. Les hublots intérieurs du bateaux sont gelés, à la poupe des glaçons pendent, les cordages sont cassant, il est impossible de les rouler.
Un simple regard avec le capitaine, on largue les amarres. On sait d’avance que Marvin - lorsque le temps lui paraîtra trop long ou trop froid à l’extérieur - ne demandera pas mieux que de se pelotonner sous son duvet en regardant un.DVD.
La navigation musclée au début se calme à partir de 15h00, la mer est gérable pour Bébek Tutu, le capitaine pouvant se relaxer un peu. On se réchauffe avec du thé ou du café, que l’on tient le plus longtemps possible entre les mains. Il ne faut pas longtemps à ce régime pour qu’une envie - qu’on refoule au plus profond de son esprit – apparaisse. Il faut bien éliminer ! Je vous laisse imaginer la gymnastique pour ôter les quatre couches et pour ses messieurs, de trouver «l’objet» du soulagement.
En arrivant à Norfolk à 21h00, un seul bateau au mouillage, Shiver. Je dois me cramponner pour atteindre l’ancre, le pont s’est transformé en une véritable patinoire. Une fois mouillé, la VHF crépite, c’est la voix de Red : Whaou you made it ! (vous l’avez fait !). Nice to see you (contents de vous voir). On se retrouvera demain pour déjeuner.
Les retrouvailles sont joyeuses pour Frédy et Marvin qui parlent déjà de la future visite du Père Noël et de ce qu’ils lui ont commandés. Nous décidons de passer Noël à Great Bridge. Entre l’écluse et le pont, il y a un quai où l’on peut rester gratuitement, les magasins sont à proximité, ainsi qu’un terrain de jeux pour les enfants. De plus, le Père Noël pourra aisément atterrir avec ses rennes.
La navigation musclée au début se calme à partir de 15h00, la mer est gérable pour Bébek Tutu, le capitaine pouvant se relaxer un peu. On se réchauffe avec du thé ou du café, que l’on tient le plus longtemps possible entre les mains. Il ne faut pas longtemps à ce régime pour qu’une envie - qu’on refoule au plus profond de son esprit – apparaisse. Il faut bien éliminer ! Je vous laisse imaginer la gymnastique pour ôter les quatre couches et pour ses messieurs, de trouver «l’objet» du soulagement.
En arrivant à Norfolk à 21h00, un seul bateau au mouillage, Shiver. Je dois me cramponner pour atteindre l’ancre, le pont s’est transformé en une véritable patinoire. Une fois mouillé, la VHF crépite, c’est la voix de Red : Whaou you made it ! (vous l’avez fait !). Nice to see you (contents de vous voir). On se retrouvera demain pour déjeuner.
Les retrouvailles sont joyeuses pour Frédy et Marvin qui parlent déjà de la future visite du Père Noël et de ce qu’ils lui ont commandés. Nous décidons de passer Noël à Great Bridge. Entre l’écluse et le pont, il y a un quai où l’on peut rester gratuitement, les magasins sont à proximité, ainsi qu’un terrain de jeux pour les enfants. De plus, le Père Noël pourra aisément atterrir avec ses rennes.
Dans l’après-midi un troisième bateau passe l’écluse, Strider. A son bord un couple de sud-africains, Marguerite et Ferdi, ainsi que William, leur aide. Nous convenons avec Liz qu’il n’y a pas de raison qu’ils restent seuls le soir de Noël et nous les convions à notre petite fête. Nous étions un peu coincés à bord de New Life mais la soirée a été d’autant plus chaleureuse.
Avec Liz on s’est partagé les tâches : Liz et Red préparant la dinde, les petits légumes et le Xmas pudding. Je m’occupe de l’entrée : crevettes sur lit de salade, de l’accompagnement : gratin dauphinois, d’un flan caramel (le souhait de Marvin) et d’une tarte au citron (souhait du capitaine) pour le dessert. Quant au troisième bateau, comme ils n’avaient rien prévu, ils amènent le liquide.
Les enfants ont terminé la soirée devant un DVD se posant encore la question de savoir par où le Père Noël avait passé pour déposer les cadeaux. Les cheminées de Shiver et New Life sont bien trop étroites pour le laisser entrer, surtout s’il est américain !
Avec Liz on s’est partagé les tâches : Liz et Red préparant la dinde, les petits légumes et le Xmas pudding. Je m’occupe de l’entrée : crevettes sur lit de salade, de l’accompagnement : gratin dauphinois, d’un flan caramel (le souhait de Marvin) et d’une tarte au citron (souhait du capitaine) pour le dessert. Quant au troisième bateau, comme ils n’avaient rien prévu, ils amènent le liquide.
Les enfants ont terminé la soirée devant un DVD se posant encore la question de savoir par où le Père Noël avait passé pour déposer les cadeaux. Les cheminées de Shiver et New Life sont bien trop étroites pour le laisser entrer, surtout s’il est américain !
L’étape suivante : Great Bridge – Coinjock, 43 miles. Nous ouvrons la route, Shiver et Strider ayant un grand tirant d’eau, nous sondons les endroits délicats. Juste avant d’entrer dans le canal à Coinjock, les fonds remontent sérieusement. Je leur indique en permanence la profondeur par VHF pendant que Thierry trouve le meilleur passage, ils suivent notre trajectoire. Tout à coup, Strider, on ne sait pour quelle raison, sort complètement de la route et s’échoue. Ferdi tente une marche arrière, plein gaz, c’est pire, il a une quille longue et s’enfonce plus. Nous faisons demi-tour, lui lançons un bout et commençons à tirer, reprenant la manœuvre plusieurs fois, Strider ne bouge pas d’un poil, le bateau est lourd, nous ne faisons pas le poids cette fois-ci. Impossible pour Shiver de donner un coup de main, Red, s’échouerait à son tour. Strider n’a pas l’assurance TowBoat US - Compagnie de remorquage qui, pour 116$ par année de prime, vient vous sortir de n’importe quel mauvais pas, amène les pièces détachées pour la réparation ou du diesel en cas de panne sèche; leur intervention étant gratuite pour autant que l’assurance soit souscrite - il ne sert à rien donc de les appeler pour les tirer de là, ça coûterait bonbon. Des pêcheurs locaux avec deux gros hors-bords de 70 CV à l’arrière de leur barque, offrent leur aide en tirant sur la drisse de spinnaker afin de faire basculer Strider sur babord et dégager la quille pendant que Ferdi actionne du moteur. Ils ont beaucoup de peine, nous proposons alors de tirer à l’arrière pendant qu’ils tirent sur le côté. Finalement Strider se bouge et sort de ce mauvais pas. Les pêcheurs s’en vont, un salut de la main, sans rien demander. On peut dire que Ferdi a eu beaucoup de chance de s’en tirer à si bon compte, car les pêcheurs étaient en droit de se faire payer pour leur intervention et lorsqu’on sait que ce montant pour aller jusqu’à la moitié de la valeur du bateau dépanné. Ferdi peut les remercier de leur esprit marin et leur doit une fière chandelle.
Une fois Strider, tiré d’affaire, nous continuons notre route et amarrons les trois bateaux devant Midway marina. Les vents tournant au sud pour le week-end nous empêcheront de continuer. Qu’à cela ne tienne ; Thierry s’affère à vidanger le nouvel inverseur, après 25 heures d’utilisation, comme le précise le manuel. Je m’occupe de la lessive pendant que les enfants se déguisent en pompier ou policier à tour de rôle.
A voir la tête de mon capitaine, je sens que quelque chose cloche. L’huile est pleine de particules métalliques, acier et cuivre. Les hommes en discutent et pensent qu’il y a des produits de conservation dans les inverseurs neufs, raison de l’opacité de l’huile, mais ce n’expliquerait toutefois pas les particules. Thierry pense au pire, d’autant plus que dès les premiers essais à Deltaville, il avait signalé un bruit inhabituel au mécano qui nous accompagnait. Ce dernier avait répondu qu’avec un nouvel inverseur, qui plus est d’une démultiplication différente, les bruits et les vibrations seraient autres. On devrait s’y faire apparemment et tout devrait rentrer dans l’ordre sous peu.
Thierry passe sa soirée la tête dans le moteur, contrôle tout ce qu’il peut et constate que le moteur est complètement désaligné. Le bruit viendrait-il de là ? Il en doute.
29 décembre, la météo annonce des vents de NW 5/10 nœuds. On largue les amarres pour l’étape suivante : Coinjock-Aligator River (40miles). Nous passons le pont et ancrons à Deep Creek pour passer la nuit au milieu de nulle part. Le coucher de soleil est splendide.
Le lendemain, dès le lever du jour, nous partons pour Belhaven (35miles).
Un besoin de produits frais se fait sentir sur les bateaux. Nous renouvelons donc - l’expédition de cet été - en allant faire notre shopping avec les voitures de golf de River Forest Marina.
Marguerite et Ferdi nous retournent l’invitation de Noël, la soirée du 31 se déroulera donc à bord de Strider. Ça c’est ce qui était prévu, sans compter les caprices de la météo, qui se transforme en « gale warning » Avis de coup de vent d’ouest avec des pointes allant jusqu’à 40 nœuds, tout est annulé. Chacun profitant du spectacle de son bord, ballottés, tiraillés et malmenés au mouillage. Strider et nous dérapons, nous devons repositionner nos ancres. Pour la nuit nous mettrons l’alarme d’ancrage au GPS par sécurité. Nous serons au lit à 21h ne dormant que d’un œil.
Bonne année à tous, on se le souhaite par VHF en pensant à la nuit dernière. Red nous annonce qu’il a mesuré des pointes à 48 nœuds. Cet après-midi c’est le calme plat et nous pourrons fêter la nouvelle année comme il se doit à bord de Strider, qui n'a toutefois pas de chauffage.
Thierry change à nouveau l’huile de l’inverseur après 21 heures supplémentaires. Le résultat est le même voire pire. Nous envoyons donc des échantillons à Schroeder afin de connaître leur avis.
Samedi 3 janvier : Belhaven-Oriental (30 miles). Vent N 5/10noeuds. C’est nettement plus calme. Nous partons tôt le matin, au lever du jour, donc lorsque Marvin ouvre les yeux, il a établi un nouveau règlement à bord :
Quant on navigue, je prends mon petit-déj. au lit, comme ça je reste bien au chaud, me dit-il avec son petit air malin !
L’ancrage à Oriental n’est pas large, entre le mur de la marina et le chenal remontant sous le pont, peu de place pour trois bateaux où encore une fois les fonds remontent rapidement. Nous sondons et laissons Strider et Shiver choisir leur emplacement. Avec notre tirant d’eau plus faible, nous prendrons la place qui reste. Une fois notre mouillage terminé, nous constatons que tout l’équipage de Strider s’active sur le pont, tentant de le faire basculer d’un bord sur l’autre, ils se sont à nouveau échoués. Thierry et Red mettent les annexes à l’eau et poussent sur tribord pendant qu’un autre canot de passage les tire de l’autre côté.
Puis l’étape décisive pour nous : Oriental-Beaufort (NC) (20 miles). Thierry a décidé de ne pas continuer plus au sud, sans savoir ce qu’il y a avec l’inverseur. Les vibrations s’intensifient, l’huile est toujours remplies de particules et opaque, même 10 heures après la dernière vidange. En contrôlant mes courriers, j’ai un e-mail de Schroeder nous disant qu’à leur avis il n’y a rien d’anormal pour eux avec l’huile.
Nous voulons en avoir le cœur net. Grâce à la voiture, la gentillesse et la disponibilité de John, un ami de Gigi et Lulu, nous nous rendons directement chez ZF qui est à quelques miles du mouillage. Nous leur expliquons nos soucis, un ingénieur vient l’après-midi même à bord de New Life. Pour lui les échantillons d’huile contiennent une quantité trop importante de particules métalliques, la dernière huile sentant même le brûlé. Il les prend avec lui afin de les analyser à l’atelier Il fait un premier contrôle au moteur et constate, tout comme Thierry que celui-ci est complètement désaligné, mais précise que cela ne peut pas endommager un inverseur après seulement 52 heures.
Plusieurs échanges téléphoniques entre l’ingénieur et son atelier. Il se propose d’ouvrir l’inverseur, de le contrôler, mais précise bien que s’il ne trouve rien – ce dont il doute - les frais de déplacement, les heures de travail (95$/h) seront à notre charge bien que l’inverseur soit sous garantie. Nous prenons le risque.
Le lendemain, nous quittons la joyeuse compagnie de Shiver et Strider pour remonter l’ICW de 5 miles afin d’être à une distance raisonnable des ateliers ZF et de pouvoir remettre New Life à terre dans un chantier au tarif plus ou moins abordable, Bock Marine yard.
A peine hors de l’eau Thierry démonte l’inverseur. Le lendemain, Rodney, l’ingénieur de ZF vient nous chercher en voiture. L’inverseur sera ouvert en notre présence chez ZF. Rodney constate que les disques de friction sont complètement abîmés, que le métal sur ces disques part au moindre grattage, comme s’il n’y adhérait pas proprement, qu’un de ces disques a même perdu un morceau, visible à l’œil nu. Très mauvaise nouvelle pour nous : ZF ne garantit pas les disques !
Là, commencent discussions et investigations. Qu’est-ce qui a pu créer ce dommage ?
Nous sommes prêts à faire contrôler, l’arbre d’hélice, l’hélice, le nouveau tourteau qui avait été usiné à Deltaville, afin d’être sûrs que le problème ne vient pas de New Life mais nous ne pouvons accepter le fait que ZF ne prenne rien en charge, ni ne change l’inverseur si le mal vient de la pièce elle-même. Nous venons de payer une fortune pour ce nouvel inverseur et son installation. Le fait qu’il « foire » après 52 h. Non, non et non, ça c’est le trop plein. Il nous faut trouver un terrain d’entente bien que la fabrique en Italie ne rentrera pas en matière quant à un échange pur et simple. La maison mère pourrait éventuellement nous rembourser le prix de la réparation (plus de 1'000$) si notre cas est acceptable aux yeux de la garantie. Nous refusons catégoriquement cette idée puisqu’on sait que cette dernière ne fonctionnera pas sur les disques et que ce sont eux qui sont litigieux.
Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir supporté l’humeur du capitaine tout au long du trajet, mais mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai entamé les discussions sous un autre angle, leur demandant quelle serait leur réaction si 52 h. après avoir acheté un produit neuf, il « pétait ». L’accepteraient-ils ? Plus que ferme sur ce coup-là, ils ont eu un avant goût de mon mauvais caractère et vont voir ce qu’ils peuvent faire. Ce soir Thierry m’a même remerciée d’avoir tenu bon.
La manager de ZF se sent vraiment concernée par notre mésaventure. Aucun autre inverseur de ce type n’est apparemment disponible aux USA. Elle va tenter de convaincre la fabrique de prendre en charge les heures de travail (démontage/remontage), les pièces de rechanges ou le remplacement de cet inverseur. Il nous faut attendre au minimum deux jours pour connaître leur décision.
De retour au bateau ce soir-là, les bras nous en tombent. Une équipe du chantier organisant un apéro puis une escapade dans un resto, nous les suivons.
Le lendemain, Thierry, démonte encore l’arrière du moteur (le plateau d’accouplement moteur/inverseur), ainsi que les supports du moteur (silent bloc) afin de tout faire contrôler. Nous sommes maintenant sûrs que tout est OK de notre côté. Il faut l’admettre; nous sommes tombés sur un mauvais numéro d’inverseur, celui du lundi matin ou du vendredi soir. Toutes les pièces contrôlées ont été soumises à l’équipe de ZF qui - tout comme nous - n’a pas plus d’explication. Faut-il encore arriver à convaincre la maison mère !
Finalement la nouvelle tombe : ZF nous remplacera notre inverseur, non pas en faisant fonctionner la garantie puisque la fabrique le refuse, mais à titre de « policy ». En effet, ZF Beaufort est l’importateur pour l’Amérique du nord et tient à nous laisser une bonne impression quant à leur image de marque. Ils sont vraiment navrés de ce qui nous arrive. Les seuls frais à notre charge seront ceux de l’envoi de l’inverseur depuis l’Italie et deux heures de main-d’œuvre pour son installation et les essais qu’ils tiennent à effectuer en mer afin que nous soyons satisfaits de leur service. L’envoi prendra environ deux semaines.
Avec nos meilleures pensées
Les New Life en balade
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